Samedi 8 février 2025

Beau temps et toujours beaucoup de vent. Nous restons à « travailler » (Jens sismologie et moi le blog), allons nous baigner rapidement au Porto Antigo, déjeunons à midi sur le balcon, faisons nos bagages et à 13 h Ivan vient nous chercher. Il nous a conseillé d’arriver tôt à l’aéroport, parfois la queue est longue. Mais aujourd’hui, pas de queue et en plus l’avion ´qui devait partie à 15 h 30 est retardé à 16 h. Nous prenons un café en compagnie de petits oiseaux qui rentrent dans la cafétéria. Nous embarquons. Nous avons deux places à l’arrière mais l’hôtesse demande si on veut bien changer et aller plus devant. Elle demande cela à plusieurs passagers et explique que c’est pour équilibrer le poids. OK. Les passagers rentrent dans l’avion par derrière et ce sont les bagages qui sont chargés à l’avant de l’avion. Vol court, un peu mouvementé avec ce vent fort, de Santa Maria (ile de Sal) à Praia (ile de Santiago). Mes photos sont toutes « brumeuses », le temps n’est pas clair à cause du sable qui vole partout. Nous avons loué une voiture à une compagnie locale et la jeune femme fait les papiers sur le capot de la voiture. Et nous partons, c’est moi qui conduis et Jens est le navigateur. Nous n’allons pas à Praia mais à Assomada, une assez grande ville au milieu, à peu près, de l’ile. La campagne n’a pas l’air riche et est, en fait montagneuse et un peu moins sèche qu’à Sal Jens est en contact avec le propriétaire et nous nous approchons bien de l’adresse donnée. Mais les quelques dernières centaines de mètres sont un peu compliquées Alors, je stationne la voiture et reste dedans, et le propriétaire et Jens se donnent rendez-vous sur la place de l’église. Jens précise qu’il a un anorak jaune. Ils se trouvent après quelques minutes et ce monsieur Cap-Verdien parle … français. Il a vécu 40 ans en France. Il nous montre l’appartement au deuxième étage et lui habite juste en dessous, au premier. Il nous donne les clés, il y en a trois : la porte d’entrée en bas, une grille dans l’escalier et la grille de la porte d’entrée de l’appartement. Bel appartement, grand, moderne, blanc mais pas très chaud. Je rajoute vite-fait un duvet sur le lit. Nous sommes arrivés il faisait jour et quand nous sortons, une demi-heure après, il fait nuit. Petite promenade de découverte de la ville d’Assomada, mais il fait nuit, on verra plus clair demain. De nombreuses femmes vendent des fruits et des légumes sur le trottoir et la plupart des « mini-supermacados » sont tenus par des Chinois. Nous trouvons un petit (encore !) restaurant où la patronne parle français aussi, ainsi qu’une cliente  Cap-Verdienne sympa : elle est née en France, y a vécu toute sa vie, parle créole mais c’est la première fois qu’elle vient au Cap Vert, le pays de ses ancêtres. Pas grand choix et ce sera encore ce soir poulet, frites et riz. Au moment de partir, la patronne nous dit que ce n’est pas sûr pour nous de marcher la nuit en ville. Alors elle demande à sa fille de 17 ans de nous accompagner ! Très sympa, la gamine. Et en fait nous sommes à 5 minutes du restaurant, pas de problème. 


Le drapeau du Cap Vert, avec 10 étoiles
Cape Verde flag with 10 stars


Travail sans fin: balayer le sable et les feuilles des arbres
Work witout end: sweep the sand and the leaves of the trees


Sur notre balcon après quelques heures
On our balcony, after a few hours


Ivan, Jens


Sal la brune
Sal the brown island


Notre compagnie dans la cafétéria de l'aéroport
One of our friends in the airport cafeteria


Les passagers rentrent par l'arrière
The passengers enter the plane by the back door


Les bagages sont à l'avant
The luggages are in the front


Nous survolons Espargos, la capitale de l'ile de Sal
We are flying over Espargos, Sal island capital


De Santa Maria à Praia. L'avion est le point bleu
From Santa Maria to Praia. The plane is the blue dot


C'est brumeux à l'arrivée
It's foggy when we arrive
















 








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